
À Hassaké, les enfants de jihadistes étrangers emprisonnés tentent de vivre en dehors de la radicalité
La France commence à rapatrier, en plus grand nombre, ses ressortissants partis rejoindre l’organisation État islamique. Mais de nombreux étrangers restent encore emprisonnés dans le nord-est syrien, sous contrôle kurde. À Hassaké, près de la prison pour femmes où sont détenues des étrangères …

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