Phénomène rare il y a une trentaine d’années, elle ne cesse de se normaliser : la fécondité tardive, à 40 ans ou plus, augmente continuellement depuis les années 80. Pourquoi les femmes ont-elles un bébé plus tard ? Favorisent-elles leur carrière ? Est-ce un choix ?
Phénomène rare il y a une trentaine d’années, les grossesses tardives, à 40 ans ou plus, augmentent depuis les années 80. Pourquoi les femmes ont-elles un bébé plus tard ? Si pour certaines c'est un choix, pour d'autres c'est aussi l'aboutissement d'un parcours du combattant, comme le montre notre appel à témoignages. Comment le corps médical accueille ces futures mamans ? Et quels sont les risques ? Notre dossier.
Elles s’appellent Stéphanie, Pauline, Caroline… Elles sont une centaine à avoir accepté de partager leur expérience de la maternité après 40 ans. Une vraie tendance, un phénomène qui ne cesse de croître depuis les années 80.
C’est à l’âge de 46 ans qu’Adriana Karembeu a donné naissance à son premier enfant, Nina. Pour autant, l’animatrice des « Pouvoirs extraordinaires du corps humain » sur France 2 ne se voit pas comme un exemple à suivre.
Passé 40 ans, une grossesse est plus à risque. Mais s’agit-il d’une « grossesse gériatrique » ? Un terme « vexant » et « stigmatisant » qui est encore utilisé par certains professionnels.
Les grossesses tardives sont-elles à risque ? La fertilité se maintient-elle ? L’amniocentèse est-elle obligatoire ? On répond à toutes ces questions alors qu’en France, la fécondité après 40 ans ne cesse d’augmenter.