C’est la première expression qui apparaît sur le visage des fœtus dans le ventre de leur maman. Grâce à l’imagerie en 4D, les chercheurs et notamment l’obstétricien britannique Stuart Campbell ont découvert que dès la 24ème semaine de grossesse les enfants affichent un mystérieux sourire sur leur visage. Un sourire qui ne s’efface pas après la naissance, puisqu’en moyenne les enfants sourient 400 fois par jour. Un chiffre qui dégringole en vieillissant puisqu’on estime qu’un adulte ne sourit que 20 fois par jour. Pourquoi est-ce si important de sourire ? Mais quel rapport avec l’espérance de vie ? Pourquoi certains ont tendance à plus sourire que d'autres ?
A l'occasion de la Journée internationale du Bonheur le 20 mars, Maintenant vous Savez Santé consacre des épisodes spéciaux pour comprendre quels sont les enjeux de bonheur sur notre santé. Sans injonction à être à tout prix heureux-se, on décortique d'un point de vue médical les aspects de cet état physique et mental.
C’est bien connu, les Français et Françaises sont considérés comme des râleurs invétérés. Pour l’entourage proche, cette attitude n’est pas forcément très agréable ! Pourtant, rouspéter est profondément humain : pour celle ou celui qui se plaint, cela soulage et permet de ne pas refouler son insatisfaction, ses contrariétés, sa mauvaise humeur… Quel est leur impact sur la santé ; y a-t-il une différence entre les deux ? Comment éviter d’en arriver là ? Y a-t-il des astuces qui peuvent nous aider ?
Bien sûr, le bien-être en cuisine est une histoire de convivialité avant toute chose. Partager un repas, le préparer, découvrir des saveurs, faire des expériences culinaires… L’alimentation du bonheur, ce n’est pas simplement manger, mais il existe en tout cas un lien très clair entre ce que l’on consomme et ce qui se passe dans notre cerveau. Quels sont les effets de l'alimentation sur notre cerveau ? L’avocat contient des Oméga 3 ; est-ce qu’ils influencent également notre bien-être ? La banane est aussi composée de tryptophane ?
Notre esprit est comme un jardin que nous devons cultiver. En prendre soin, ça veut dire ne pas laisser les mauvaises herbes, c'est-à-dire les pensées négatives gagner notre espace mental. Selon le neuroscientifique américain Daniel Amen, spécialisé en imagerie cérébrale, nous produisons 60 000 pensées par jour et 80% de ces pensées sont négatives, ce qui représente au quotidien 48 000 pensées négatives. Comment faire pour contrer cette tendance naturelle ? Comment faire pour prendre du recul face à ces pensées négatives ?