Journée internationale du bonheur : 5 conseils pour être heureux

Bien sûr, le bien-être en cuisine est une histoire de convivialité avant toute chose. Partager un repas, le préparer, découvrir des saveurs, faire des expériences culinaires… On dit « avoir la banane » d’ailleurs… L’alimentation du bonheur, ce n’est pas simplement manger, mais il existe en tout cas un lien très clair entre ce que l’on consomme et ce qui se passe dans notre cerveau. Quels sont les effets de l'alimentation sur notre cerveau ? L’avocat contient des Oméga 3 ; est-ce qu’ils influencent également notre bien-être ? La banane est aussi composée de tryptophane ?

Une note scientifique, publiée le 2 mars 2022 par l’Organisation Mondiale de la Santé, informe que la prévalence mondiale de l’anxiété et de la dépression a augmenté de 25 % pendant la première année de la pandémie de Covid-19. Une augmentation massive, causée notamment par l’isolement social et des facteurs de stress multiples, comme la peur de l’infection ou les soucis financiers. Il faut savoir que la production des hormones dites « du bonheur » peut être stimulée, en privilégiant régulièrement certains aliments, mais aussi certaines activités ou comportements. Mais c’est quoi une hormone du bonheur ? Comment agissent-elles dans notre corps ? Peut-on stimuler la production de ces hormones ?

À l’occasion de la Journée mondiale du bonheur, le 20 mars, le Réseau des solutions pour le développement durable, une entité rattachée aux Nations Unies, a publié un classement, et pas n’importe lequel : celui des pays les plus heureux du monde. Ils utilisent les données de plus de 140 pays, et sans grande surprise, les nations européennes dominent ce classement, en particulier les pays nordiques. Pour la 7ᵉ fois consécutive, le pays le plus heureux du monde est…. la Finlande. Il est suivi de près par le Danemark, puis l’Islande en 3ᵉ position. D’ailleurs, il est intéressant de noter, que dans les pays les mieux classés, on trouve peu de nations très peuplées. Un seul dépasse les 20 millions d’habitants, c’est l’Australie à la 10ᵉ place. Et ce ne sont pas, non plus, les plus grandes puissances économiques. Qui est le numéro 1 ? Sur quoi se basent-ils pour établir ce classement ? Qui est le pays le plus malheureux ?

On entend souvent dire que la qualité du sommeil joue un rôle essentiel sur notre humeur, mais ça ne fait pas tout. Le réveil a lui, aussi, un rôle important. On vous en dit plus dans cet épisode. Il y a celles et ceux qui ne feront et ne diront rien avant leur premier café. D’autres encore, se lèvent systématiquement du pied gauche, de mauvaise humeur. On pense souvent à tort que cet état d’esprit négatif est une fatalité. Bien sûr, un mauvais sommeil peut être en cause : pas assez d’heures de repos, stress, apnées du sommeil, alcool, …, tout comme l’aspect psychologique : manque de motivation pour un travail qui ne nous satisfait pas, problèmes dans sa vie affective, rentrée difficile, etc. Mais la qualité du sommeil ou la santé mentale ne font pas tout. Par exemple, nous sommes nombreux à nous réveiller à la va-vite, et même parfois en catastrophe, quand on n’a pas entendu son réveil sonner... Existe-il une bonne façon de se réveiller ? La sonnerie de notre réveil joue-t-elle un rôle ? Mais alors, s'asseoir un instant au bord du lit peut-il faire la différence ?

Associer le bureau, “desk”, à l’espace vert, “green”, c'est travailler au vert, et ça s'appelle le “greendesking”. On vous explique d'où vient cette nouvelle manière de travailler dans cet épisode. Le greendesking, c’est une pratique qui est d’abord née de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada. Tout commence à Montréal en 2017, lorsque Îlot 84, un organisme à but non lucratif, fonde un espace extérieur équipé de tables, de prises et d’une connexion wifi. Le lieu est baptisé Aire Commune. L’objectif est simple : associer le bureau, “desk”, à l’espace vert, “green”. C’est comme ça qu’apparaît le “greendesking”, un outil de qualité de vie au travail. Est-ce qu’il faut aller dans un lieu dédié pour faire du greendesking ? Qu’est-ce que ça apporte concrètement ? Mais quelles peuvent être les limites au greendesking ?