4 conseils bien-être pour un Noël serein !

Si vous faites partie de ceux qui ont sorti les sapins, boules de Noël et autres guirlandes lumineuses dès le mois de novembre, vous faites sûrement partie des plus heureux selon la science. Il n’y a aucune honte à vouloir commencer la saison des fêtes le plus tôt possible, car cela aurait un effet très positif sur la santé. Selon une étude menée par le psychanalyste anglais Steve McKeown pour le site Unilad et publiée en 2021, décorer son intérieur est une manière de se procurer un sentiment de bonheur. Comment ça ? Qu’est-ce que cela provoque au niveau du cerveau ? C’est cet altruisme qui fait tant de bien au moral ?

Noël, ses décorations, son repas, ses cadeaux... autant de traditions censées nous faire oublier le froid de l’hiver. Mais les fêtes peuvent aussi être synonymes de déprime, de disputes et de déceptions. Afin que le repas du réveillon ne tourne pas au vinaigre, voici quelques conseils à appliquer pour préserver votre santé mentale. Premier conseil : reconnaître vos émotions. C’est ce que recommande la Mayo Clinic aux Etats-Unis. Quels sont les principaux conseils ? Et si la conversation s’envenime ? Comment faire si on se sent envahi par nos proches ?

D’après une étude menée en 2017 par des chercheurs aux Etats-Unis, Pays-Bas et Portugal, les festivités de Noël coïncideraient avec un pic de recherches du mot « sex » sur Google et certains réseaux sociaux comme Twitter. Seconde donnée plus convaincante encore : les naissances les plus répandues sont celles de la deuxième moitié de septembre. Autrement dit, les conceptions ont lieu 9 mois plus tôt, autour de Noël. Comment les chercheurs expliquent-t-ils ce phénomène ? Mais Noël est aussi une période stressante pour beaucoup d’entre nous, est-ce que cela impacte aussi notre libido ? Est-ce que ce phénomène existe aussi à l’occasion d’autres fêtes collectives ?

Qui dit festivités, dit souvent repas riches et longues heures passées à table... Aussi appelées remontées acides ou plus formellement, reflux gastro-œsophagiens, les brûlures d’estomac concerneraient au moins 20 % des adultes, de manière occasionnelle, selon le site de l’assurance maladie. Ces sensations de brûlures désagréables sont un phénomène très courant. Il s’agit de sécrétions acides produites par l’estomac pour faciliter la digestion. Est ce qu’il y a des personnes plus sujettes que d’autres à ces brûlures ? Que peut-on faire pour calmer ces irritations douloureuses ? Y a-t-il certains aliments à éviter en particulier ?